Voici pour comprendre pourquoi cette haine disproportionnée contre Ahmed Ouyahia


Voici pourquoi cette haine disproportionnée contre Ahmed Ouyahia  
Ouayahia était un serviteur zélé du système pendant des decenneis.
Mais depuis l’arrivée de Zeroual, Ouyahia s’est hissé et s’est distingué parmi tant d’autres figures de ce système.
On le surnomme l’homme des sales besognes, mais également on le surnomme le bulldozer, surnom connu parmi les gens du système. S’il est  l’homme des sales besognes, la question reste posée: qui  a crée ces saletés pour lui faire appelle à chaque fois pour y faire face ?
Ouyahia était l’homme sûr au cœur du système. Le système comptait beaucoup sur son courage, ses compétences et son entêtement.
Parmi tous les hommes connus depuis la naissance de ce régime en juin 1965, Ouyahia est le seul qui a résisté le plus, qui est resté le plus au sommet jusqu’à sa chute avec l'effondrement du régime de Bouteflika. Cela n’était pas pour se beaux yeux, mais parce qu’ils ont besoin de lui et comptaient beaucoup sur lui.

Quelques soit l’impasse, dès que Ouyahia descend sur le terrain, il terrasse tous les obstacles avec une facilité impressionnante.
Les vrais décideurs de ce système ont tout fait pour faire d’Ouyahia un éternel serviteur sans réel pouvoir. Ouyahia leur été indispensable, vu ses compétences, mais ce même Ouyahia devrait rester juste à ce stade et ne doit pas monter trop et accéder au poste suprême.
Lorsqu’on on lui fait appel lors d’impasse, c’était à la fois pour libérer le chemin au système face aux obstacles et aux difficultés du moment, mais également le discréditer ou l’utiliser puis tenter de le rabaisser.
A un certain temps, particulièrement depuis 2008, on a tenté de lui créer des concurrents pour l’affaiblir et faire émerger d’autres. C’était le cas avec Benflis, mais surtout Abdelaziz Belkhdaem. Ils ont tout fait pour tenter de montrer ou faire percer Abedlaziz Belkhadem, uniquement pour qu’il soit l’homme fort juste derrière le président, c’est à dire l’homme potentiel qui pourra accéder vers la magistrature suprême.
Après des années de lutte contre Ouyahia et au grand jour Belkhadem est prit de vitesse et laminé par Ouyahia.
A partir de 2014, pratiquement il n y avait aucun concurrent capable d’égaler Ouyahia. Ce fils de Bouadnane en Kabylie s’est imposé. Pas uniquement, le dernier des observateurs voit en Ouyahia le seul homme présidentiable en Algérie. Mais les vrais décideurs se trouvent devant un paradoxe énorme. Ouyahia est l’homme du système, l’homme compétent, l’homme présidentiable, peut être plus compétent que Bouteflika lui-même, mais il y a un problème, Ouyahia est un kabyle.
Qui dit kabyle, dit méfiance. Le système se méfier de la Kabylie, tout comme le violeur se méfie de sa victime.
Là nous sommes au cœur de l’antikabylisme. Il n’est pas tombé du ciel. Ce sentiment haineux trouve son origine dans l’histoire du fondement de ce pays.
Ce n’est pas moi qui le dis, mais c’est l’histoire. Le mouvement national, la guerre de libération  ont été  mené en grande partie par les kabyles. Puis en 1962, le groupe de Oujeda parrainé par les puissances arabes, particulièrement l’Egypte de Djamal Abdelnasser, avait tendu une embuscade meurtrière aux vrais révolutionnaires.




L’indépendance chèrement acquise est confisquée au grand jour par des groupes qui n’ont jamais tiré une seule balle durant la guerre d’Algérie. L’Algérie est un pays malade et il lui sera difficile de connaitre le bonheur car il est fondé sur l’imposture, la trahison, la haine, la violence, les coups d’Etat et la falsification généralisée.
Un haut responsables qui connait les secrets du système et qui avait malheureusement contribué à la naissance de ce même système et qui a nous  a quitté il y a quelques mois m’a dit un jour, on se méfie d’une façon absolue de tout ce qui est kabyle particulièrement depuis l’attentat raté contre Boumediene en 1969.
A mon avis Ouyahia était naïf. Peut être qu’il avait joué le rôle d’un flic dans la mafia. Il s’est donné depuis peut être à un jeu de rôles, pour avoir la confiance des vrais décideurs et y accéder au pouvoir suprême. Une fois là haut, il saura comment y agir, comment imposer son pouvoir, révéler et mettre en application  ses véritables cartes.
Mais les décideurs, les vrais,  ne sont pas naïfs. Ils ont l’intelligence macabre qu’ont les plus grands criminels du monde.
Ils ont compris les intentions de Ouyahia.
Donc les machines pour détruire Ouyahia ont été actionnées à outrance particulièrement depuis 2017/2018.

Comme si tous les autres ministres, tous les autres Premiers ministres étaient des anges et il n’ y avait que Ouyahia à diaboliser.
Puis en parallèle il y a  eu la montée en puissance d’une personne qui se compte parmi les plus haineux, les plus complexés envers toute ce qui est kabyle, il s’agit du sinistre Gaid Salah.
Son plan était d’éliminer tout ce qui est kabyle dans les postes réels de commandement. Il avait commencé par déboulonner le puissant DRS.
Mais Ouyahia,  en dépit de cette agitation incroyable résiste toujours et fait semblant de n’avoir rien ressenti.
Le moment  important approche. C’est la fin du 4e mandat. Bouteflika, s’il est parvenu à aller au bout du 4e mandat était déjà un miracle. Alors parler du 5e mandat avec un homme moribond relève de l’utopie.
Mais en parallèle, le seul homme du système qui reste en lisse, et qui rempli toutes les conditions pour être président était Ouyahia.
Mais Gaid Salah, tel un monstre déchaîné et chargé de haine à outrance était prêt à déclarer une guerre mondiale en Algérie que d’accepter toute idée d’un kabyle à la tête du pays.
Il avait entre les mains les pouvoirs réels et il a imposé son clan et a laminé tous les autres, particulièrement depuis qu’il a réussi à détruire le puissant DRS.
Il était prêt à tenter l’impossible, maintenir le statut quo, en, reconduisant Bouteflika qui avait déjà un pied dans la tombe, que d’accepter une autre personne ( qui sera obligatoirement Ouyahia) à la tête du pays.
C’était ainsi qu’il y a eu la naissance du 5e mandat, qui a provoqué l’explosion politique en Algérie à partir de février 2019.
Gaid Salah sur fond de lâcheté sans limite qui était la partisan zélés de Bouteflika et l’artisan du 5e mandat, qui a été fabriqué par ce même Bouteflika, avait vite compris la situation. Il avait changé de position, s’est retourné contre Bouteflika lui-même et s’est accaparé du réel pouvoir du pays jusqu’à sa mort, terrassé par une crise cardiaque en décembre dernier.
Gaid Salah est mort mes ses réseaux sont toujours présents au cœur du système.
L’arrestation de Ouyahia contre lequel on a rédigé des rapports d’accusations de près de 2000 pages ne suffisaient pas. Il faut le détruire définitivement. Surtout n’en parler  que de Ouyahia, un parfait bouc émissaire,  une cible privilégiée, un kabyle parfait à effacer. Il ne faudra pas toucher d’autres hommes du sérail situé au dessous ou au dessus de lui.
Il faut oublier Abdelaziz Bouteflika, Chakib Khelil, Amar Sadadni, Ableaziz Belkhadem, Bouchouareb , Houda Feraoun et encore moins ceux qui sont au dessus de lui, ceux qui commandaient Ouyahia, les vrais décideurs planqués dans les cabinets noirs de ce système.
Ce qui s’est passé aujourd’hui dans un cimetière à Alger montrant Ouyahia humilié, n’est pas un hasard. Il rentre dans le cadre de diabolisation de cet homme du système, et qui fait peur à ce même système.
Toutes ces campagnes, particulièrement durant les trois dernières années ne sont pas nées au cœur du peuple. Mais elles portent la marque de fabrique des services secrets de ce système. Il y a plein d’exemples. Je cite entre autre cette histoire de Boite de Yaourt, cette histoire du chiens qu’il faudra faire affamer etc.

Cela nous rappelle d’autres campagnes lancées par ce même système pour faire abattre d’autres hommes du système. Qui se souvient des campagnes destinées à rabaisser au maximum l’ex président Chadeli Bendjedid. Des milliers de blagues ont été inventées et toutes participent à présenter Chadeli comme étant l’homme le plus incompétent, le plus idiot du monde.
Ce genre de compagnes n’émanent pas du simple citoyen ou du peuple en général. Ce sont des campagnes bien tracées dans les laboratoires politiques obscurs de ce système.
Ouyahia est arrêté, mais ils leur fait toujours peur. Dans le but de l‘achever, sans scrupule, ils ont profité de la mort de son frère, terrassé  par une crise cardiaque, alors qu’il tentait de le défendre parmi d’autres avocats au tribunal Sidi Mhamed à Alger, ils ont porté un autre coup contre lui.
Comme si la mort de son frère n’était pas suffisante, il voulait le tuer lui-même par les images, par un scénario  lâche et inhumain.
Ce jour là dans ce cimetière d'Alger il y a eu double assassinat.
Du coup, tout le monde  a oublié la mort de Laifa Ouyahia et parlait de Ahmed Ouyahia, menotté, escorté par une armada de gendarmes robustes et armés jusqu’aux dents. Une exhibition affreuse, violente,  digne des pays tiermondistes.


En réalité ce n’est pas Ouyhia qui était humilié, mais ce système qui s’est humilié.
Cette image ne va pas s’effacer de sitôt et ne sera jamais classée comme étant un fait divers ou un incident anodin. Cet acte est hautement politique et aura des répercussions contre ce système et ce sur le plan  interne et vis à vais de l’opinion internationale et des puissances étrangères.
Le système touche le fond et l’Algérie est dans l’inconnu.
Aucun algérien digne,  lucide,  ne peut être aveuglé par ce cinéma d'une machine judiciares aux ordre contre certains dirigeants. C'est un Hollywood algérien dont le réalisateur est le système.
Des arrestations, des emprisonnements, des procès, des campagnes menées par ceux mêmes qui sont responsables de l’effondrement de ce pays et à l’origine de toutes les souffrances incalculables de ce peuple.
Et les question restent posées: Qui arrête qui ? qui juge qui? 
Cette politique est une mise ne scène flagrante, un cinéma du régime  algérien  qui dans  fuite en avant ne peut même pas tromper les enfants.
Le système est dans l’impasse, à bout de souffle, en panne d’idées, il est dans l’agitation et l’improvisation.
Le film réservé aujourd’hui à Ouyahia en dit long sur ce régime qui doit disparaître.
Pardon et Gloire pour nos martyrs !
Mourad Hammami

Commentaires

  1. un article bourrée de fautes, ce qui lui enleve toute credibilité,

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    1. unknown quand on prétend a corriger les autres ,on commence par ne pas faire de fautes BOURRé au lieu de BOURRÉe

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    2. Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.

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    3. on l'a écrit rapidement ce matin et notre situation ne nous a pas permis de le corriger. il y avait des erreurs de frappes et toi même tu le sais...maintenant on vient de le corriger...la prochain fois si tu veux attaquer une personne qui te dérange par ses idées, essai de trouver autre chose sinon se taire sera bien pour toi car il t'attirera du respect.

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  2. Conclusion: si ouyahia n'était pas kabyle, on l'aurais pas jugé. C'est complètement ridicule il reconnaît lui même qu'il est un commis de l'État et en tant que tel, il fonce. Il ne réfléchit pas il est sans cœur. Il a fait des fautes et en politique ca se paye. Ni plus, ni moins. Said Bouteflika est mauvais conseiller et il a emporté ds sa chute bcp de personnes. Sellal et les autres. L'arrogance de Ouyahia, sa suffisance, sa spécialité de changer les cours des élections, d'accepter d'être renvoyé méchamment et de revenir la tête haute lui ont fait perdrevtte crédibilité. El aifa son frère luiba conseillé de quitter. Têtu qu'il est, il est resté et ke résultat est connu.

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    1. Pardon mais il est avsnt tout algerien .ce nest pas le fsit d etre ksbyle qi ol est jige.alors ne melangeons pas carottrs et navets didou.

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  3. Une leçon pour tous les Kabyles qui songent encore à jouer aux KDS. Dès que la colère de Dieu se fait sentir, vos maîtres vous Lui offriront en offrande pour le calmer; vous êtes leurs boucs émissaires.

    Pour rappel, pendant la guerre de libération de 54-62, le Kabyle était leader et soldat; cela l'a-t-il pour autant protégé des traîtres qui ont la trahison dans le sang?
    En 1963, la Kabylie s'est soulevée contre le premier tyran de l'Algérie post-indépendance; les habitués à la traîtrise ne se sont-ils pas alliés au tyran qui a fait de nous des Arabes d'office?
    Et jusqu'au jour d'aujourd'hui, rien n'a changé. Tout cela ne suffit-il donc pas pour que tu te relève et vive dignement pour que ta Kabylie soit fière de toi?

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  4. Ouyahia etait un sbire du clan il fesait le sale boulot que tout autre comis aurait refusé et c'est cela son poit fort. En plus de cela, il était bête et s'entetait a etre insolent avec le peuple j'usqu'a ce qu'il devienne le parfait bouc emissaire. Don arreter de debiter ce discour idiot et odieu.

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  5. pour dire être responsable et chef de gouvernement sur 40 millions d'Algeriens, fallait pas attendre et demander des sacs pleins d'argents à des mafieux. il doit assumer sa responsabilité. lui qui a rendu l’Algérie misérable.

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  6. Ce Ouyaya n'est ni compétent ni courageux; il est tout simplement miss lahram.

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  7. ....

    ..ouyahia n,etait qu,un simple pion ils on fait de lui un homme indispensable pour mener a bien toute les sales besognes,, ,surtout ne croyer pas que ouyahia ne connait pas le systeme mit en place depuis 62 ,a sont arriver en au pouvoir avec zeroual ,, ce dernier un homme avertie a sentie le courant d,air ,il a abondonne la presidence est rentre chez lui ,2 ans avant la fin de sont mandat ,ouyahia avait la voie ouverte creer le rnd ,ayant des idees derriere la tete ,qu,el fut ca surprise en voyant boutef debarque , entouree par deux bras de force ,fln de benflis et ouyahia rnd quoi demande de plus ,,,,vingt annee ouyahia nous mene en bateau arriver a bon port en debarque ,et au retour il ce retrouve sur une mer dechaine qui la couler a quai ,,,a vrai dire c,est lui meme qui a etait mene en bateau pendant 25 an ,,,,ait ,meng,,, mik hwadjen akanfen ksenk mitsi dsebwedh

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